>> sylvain duffard

Publié le par archibalneaire

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© sylvain duffard







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V
<br /> de sable échevellé, de grise poussière qui ne se dépose plus, et la route blanche, là où les voitures se sont arrêtées. Les maisons comme des chèvres vagabondes semblent posées là, en un endroit<br /> stratégique; De l'autre côté le rouge et le blanc. Plus gaie peut-être. Plus aérienne. et là nous trouvons des autobus positionnés en une forme géométrique et j'ai envie d'aligner d'autre bus, des<br /> autocars blancs, en un gigantesque jeu de construction, comme le font les enfants. C'est un dyptique qui me rappelle les jeux d'enfants. Un jeu de voir et recréer Créer un monde qui existe en<br /> miniature. Ici vu de si loin les voyageurs semblent si petits... on a le désir également de faire une colonne de personnes qui marchent et se suivent...<br /> J'aime toutes ces formes, ces géométriques de l'espace visuel qui sondent notre imaginaire. Une déviation de l'image touristique. Une image qui tourne et prend le risque... Chaque voyageur a ses<br /> tics... Au-delà du jeu de mots, du jeu des enfants, du jeu de celui qui observe, nous voyons ici une procession en courbes qui suit la même ligne que la courbe des immeubles de la cité. Tout en<br /> creux et en rondes, le jeu de la vie. Raconter l'histoire d'une visite, toujours un départ, un retour. Une errance en relief, presque similaire à une inscription dans le songe du vent. Une fresque<br /> qui se concentre sur la mer et les nuages... un condensé d'itinéraires et de fugues. Mais au fond je cherche le vent. Je ne l'entend pas. Il n'y a que la flûte d'un gardien de troupeau plus loin,<br /> lus haut dans le désert.<br /> <br /> <br />
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