>> patrizia di fiore

Publié le par archibalneaire

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© patrizia di fiore







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V
<br /> je ne vois que le blanc, de l'écume, de la brume, le silence blanc , le rêve blanc d'une neige et d'un nuage en écailles, d'albâtre et de coquillages. J'aime cette saturation de l'horizon par la<br /> brume d'une chaleur intense. Cette solitude est semblable à un vaste océan, un grand désert... une chair éclatante dans le vert des roseaux. l'enfance sans limite qui éparpille ses plages neigeuses<br /> à la cime d'un immeuble étonnant. La mort du cygne au bleu de l'été... et voici que son empreinte dans l'espace a laissé cette trace si légère et qui se diffuse... d'une anémone de sel étrangère<br /> aux dunes, lorsque les gouttes de la nuit s'épuisent contre les remparts des vagabondes idoles. Voici qu' Eurydice défie le chagrin et sème sur le sable les graines d'une errance capiteuse... Se<br /> love dans les coins de la ville une écume de lune et sur la mer on verra les voiles d'un bateau...<br /> <br /> <br />
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V
<br /> surgis d'un vaste espace mouvant, comme propulsés en ces lagunes saturées de brume marine, des immeubles et cette désertitude qui s'évase et se décentre. L'homme malgré son apparente absence est<br /> ici partout présent, peut-être au bord de la vague ou sur le sable fin, peut- être dans le jeu des dunes... Il me semble ressentir une douce fraîcheur comme un vent si léger qui se diffuse... et je<br /> n'entends que le chant des vagues...<br /> <br /> <br />
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